La jeune fille suppliciée sur une étagère et Le sourire des pierres, Akira Yoshimura

Deux histoires... avec pour thème commun la mort. C'est original, on entre dans le vif du sujet à la manière de Yoshimura... ni sinistre ni morbide, juste un peu étrange. Ce que j'aime dans la littérature asiatique (et même dans le cinéma) c'est cette manière de concevoir des fins entre le mystère, le souvenir inachevé, l'angoisse suspendue. Pas vraiment de happy end, j'adore.