8 septembre 2007

Persistance rétinienne


C'est ce qui nous permet de perçevoir un film au mouvement fluide alors qu'il est composé d'images fixes.
Dans le court-métrage ci dessous fait par Supinfocom de Valenciennes c'est la solution au problème de nos deux personnages... mais il y a beaucoup d'autres choses.




Plus je le vois plus la fin m'émeut...

5 commentaires:

Anonyme a dit…

Un petit bijou ce film. Merci!

Anonyme a dit…

GÉNIAL ! (je suis de bonne humeur, pour un bon moment )

Cocje a dit…

On pourrait résumer ça comme ça: Tout est possible dans la vie, tout dépend du point de vue que l'on choisit (ou de la manière de regarder le monde) !
Moi aussi je suis de bonne humeur !

Anonyme a dit…

Oui, il est fabuleux ce petit film. Il met en oeuvre un entremêlement du fond et de la forme tout à fait réjouissant.

Il me semble l'avoir déjà vu, il y a quelques années, chez des copains qui bossaient dans l'anim: c'est pas tout récent, non?

Cocje a dit…

PS: Obsession de projecionniste... ça m'énerve énormément cette manière de représenter la pellicule cinéma de manière aléatoire (un coup à defilement horizontal, un coup vertical, et vas-y que je te met pas le bon nombre de perforations-remarquez pas le bon nombre on s'en fout mais de manière irrégulière ça c'est impossible-... ou le son n'importe où...)

@ekwe: Il date de 2002 (c'est marqué à la fin, non ?)