9 mai 2007

Mon beau cheval noir, Zhang Chenzhi




Les légendes millénaires des steppes mongoles et les paysages sublimes du Nord-Ouest de la Chine ont nourri le lyrisme de la symphonie pastorale qu'est Mon beau cheval noir, au tempo musical inimitable. C'est le nom d'une vieille ballade mongole dont le héros est un cheval d'une beauté sans égale, c'est l'histoire émouvante d'un jeune homme chevauchant dans l'immense océan d'herbes à la poursuite d'un amour d'enfant, qui nous dit la violence des saisons et des larmes parmi les siens.

C'est une très belle interprétation de ce chant Mongol. Beaucoup de poésie. Une réflexion sur la modernisation des peuples nomades, qui choisissent entre la steppe ou la ville. Des êtres sur qui le temps passe avec plus ou moins de bonheur, de regrets, de sagesse...

4 commentaires:

Anonyme a dit…

depuis hier soir ......je sais, où je vais "devoir " partir cet été !!

Tu connais la détermination de mon guide . Vous n'aurez pas un mail tous les jours...

Cocje a dit…

la chance. greu

Anonyme a dit…

on ne ferait qu'y passer........

Cocje a dit…

La chance quand même, non mais !